Si elles étaient bien les vacances? Who Can Say? Je n'en sais rien. Le printemps s'est enfui sans que je ne m'en rende compte, il se passe la même chose avec l'été. Je suis blanquignous comme je l'ai jamais été à cette époque. Même pas eu l'occase de sortir le transat, même pas une sieste sous le châtaigner. J'ai les yeux cernés, je suis fatigué. Triste mine, triste sire. Pas de concert, ni de festival à ce jour. Pas de disques achetés non plus, pas de nouveautés, et j'ai fait une pause dans ma quête aux vinyles. Les cartons se déballent de temps à autre, les pièces prennent un nouvel habillage et montrent un nouveau visage.
J'ai l'impression d'avoir laissé filer l'été, d'être passé à côté des longues journées ensoleillées. Le soir tombe plus tôt à présent. Je vous dirai dans trois jours à quoi ressemblent les vacances au mois d'août, chose nouvelle pour moi.
Eu le temps d'oublier mes disques, d'en écouter quelques uns, dans la bagnole principalement. Aimerai vous parler plus longuement de The Horrors, des sensations que ce disque procure au volant, le pied gauche battant la mesure, le droits ne pouvant se lever de l'accélérateur, et voir ainsi défiler le paysage en cadence. Mais, il se fait tard, et je suis fatigué, alors silence, laissons les vous dire...
2 commentaires:
Faris Rotter a défait les cartons avec toi ou quoi ? Parce qu'il a vraiment une petite mine lui aussi !
Waouh!! Une fan, j'y crois pas!! Oui il est tout minot le petiot, et la croissance, ça fatigue...
Oui et on s'est pas chopé un coup de soleil à Venice Beach, nous :))
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