Je ne sais pas pourquoi, mais ce sont toujours les mêmes références que je vais essayer d'éviter de répéter, qui sont reprises pour décrire la musique de Patrick Watson. Son album Close To Paradise, qui a mis en gros douze mois pour arriver par chez nous et qui a déjà collectionné toutes sortes de prix et de récompenses, est déjà un classique. Il se dégage de cet univers amniotique, un parfum onirique dans lequel, adepte de repli foetal qu'on le veuille ou non, on prend rapidement plaisir à se laisser bercer et se mouvoir.
Illustration avec trois extraits.
9 commentaires:
Pas mal, pas mal. Si un jour je récupère un ordinateur, j'écouterai ça... Par contre les clips, bof bof.
C'est vrai que c'est bien. La première chanson me fait un peu penser à Antony and the Johnsons...
Pour les clips pareil que Cre !
Pour une fois qu'on est d'accord !!!
Rhâaa lala... Jaaamais contents ces deux là!
Cre>
Les clips on s'en contrefout. C'est uniquement le moyen le plus rapide et le plus facile de mettre de la zique à mon niveau (débutant).
Nat>
Ne vous reste plus qu'à vous trouver un terrain d'entente sur Inland Empire.
Bon déjà je viens de me taper "Muholland Drive" et j'ai bien aimé !
Alors tu vois ? Tout espoir de réconciliation n'est pas perdu !
Nat>
Vous vous êtes pas crêpé le chignon pour un film quand même??
Ben vu la taille de ses cheveux au Cre, on aurait du mal à se crêper le chignon...
J'aurais éventuellement pu lui crêper ses poils ... A voir...
J'aurais pu lui crêper la choucroute...
C'est quand même dingue, la première chanson m'a "aussi" fait penser à Antony...
Nat, sors de mon corps !
Nat>
Hihihi, j'imagine la scène!! Poil ras contre poil long!!
Cre>
Oui un peu, mais en moins maniéré! Hormis tous les noms eculés qui reviennent dans la presse, c'est celui de Satie que je préfère.
Cre>
Tu m'as dans la peau mais tu as juste un peu de mal à l'admettre c'est tout...
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